lundi 21 novembre 2016

Mon livre serait meilleur si...

Le livre continue à s’écrire et chemin faisant, sa forme évolue. Voici les trois réorientations prises en ce mois de novembre.

Un livre plus complet
Je parlerai de beaucoup plus de lieux que prévu. À l’origine, mon plan consistait à partir d’une vingtaine de lieux particulièrement significatifs (la cathédrale, la voie romaine, l’hôpital...) pour dérouler le récit d’une époque, d’un personnage ou d’un événement. Cette méthode limitait sérieusement le nombre d'endroits présentés. Or, j’imagine votre frustration de ne rien lire sur la rue où vous habitez ou que traversez régulièrement. Désormais, j’envisage d’écrire sur chaque nom de rue, chaque monument petit ou grand, chaque plaque commémorative, chaque élément offrant une parcelle de l’histoire lexovienne. Voilà un programme qui risque de me donner quelques sueurs. En même temps, je lis tellement d’articles intéressants, je vois tellement de choses curieuses au cours de mes promenades citadines que je trouverais cela dommage de ne pas vous les faire partager. Bref, je relève le défi.

Poutre sculptée d'un "rageur" sur une maison de la rue Henry Chéron.
Davantage d’aperçus du livre
Ce blog accueillera plus d’extraits du livre. Vous aurez ainsi une idée plus exacte de son contenu. Je compte d’autant sur vos réactions pour corriger et améliorer ces articles. J’insiste vraiment sur votre participation. C’est tout l’intérêt de ce blog public. Vous devez  pouvez vous exprimer ! Posez vos questions, pointez une erreur, voire réorientez le livre. Ma tête dans le guidon, des choses m’échappent. Pire, je me passionne pour des sujets qui peut-être n’intéressent que moi. Pour m’éviter ce sentiment de solitude, expliquez ce que vous attendez de ce travail. Ce n’est pas seulement mon livre ; c’est aussi le vôtre (waw, quelle formule digne d'une publicité ! Prononcée d'un voix grave, c'est encore mieux).

Avoir du style
Les livres d’histoire sont parfois ennuyeux. Si, si, je vous jure. Une abondance de détails, des passages obscurs et le ton docte parviennent à faire piquer du nez les lecteurs les plus courageux. Je vais notamment essayer de rendre mon écriture plus sympathique, plus légère. C’est bien plus agréable d’apprendre l’histoire de sa ville en se divertissant. En même temps, ce ton se travaille ; les résultats n’apparaîtront peut-être que dans quelques mois. J’espère alors arriver à vous faire esquisser un sourire.

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